Dating et Gaming, voici les deux concepts mis en avant par l’application PlayMe. Parce le jeu peut être un moyen ludique de faire des rencontres autrement, des rencontres plus ciblées et avant tout plus naturelles.
Tinder, le jeu en plus
L’application gratuite PlayMe ressemble beaucoup à Tinder, notamment au niveau de ses fonctionnalités, de son design et de son ergonomie. Et comme sur Tinder, c’est avec votre profil Facebook que l‘inscription se poursuit, en allant y piocher votre âge, votre nom, localisation ainsi que vos centres d’intérêt. De la même manière, une fois l’inscription terminée, des profils s’affichent selon les critères que vous avez sélectionnés (sexe, âge, région…). Mais là où tout change, c’est qu’il va falloir jouer avant de pouvoir rentrer en contact avec le profil qui vous intéresse.
On clique sur Play et le jeu commence. Toujours ludiques, drôles voire décalées, les questions se basent sur les connaissances qui ont un lien avec les centres d’intérêt et les loisirs de la personne que l’on convoite. Pour pouvoir ensuite la contacter, il faudra avoir atteint au jeu un score minimum.
Il faut savoir que le score à atteindre varie selon la popularité du profil… Plus une personne aura de demandes de contact, plus il faudra atteindre un score élevé. Une manière de restreindre les demandes sur les profils aux « belles » photos…
Promesse de succès ou réelle frustration ?
PlayMe est donc une appli pour que la rencontre soit plus ciblée, réfléchie, attendue. En refusant les phrases toutes faites, recopiées 100 fois sur toutes les autres appli de rencontres et en mettant en avant de réelles affinités, l’appli nouveau genre souhaite que le jeu, en plus d’être drôle, soit une manière de connaître l’autre autrement que sur une photo ou un texte de présentation. Il est clair que cela peut être un très moyen de bloquer et de limiter les rencontres à certains profils.
Mais, la frustration est grande lorsqu’on tombe sur un profil qui nous plait vraiment mais que l’on ne réussit pas à répondre à toutes les questions sur Grey’s Anatomy ou le patinage artistique ! Car on peut aimer une activité et vouloir la partager sans être obligatoirement calé à fond dessus, sauf à demander à sa petite soeur de répondre aux questions avec nous… Mais c’est le prix à payer pour rejoindre cette communauté de Daming qui se démarque de ses concurrents mais qui pourtant peine à se faire connaître en France.
